CITCON est une conférence en anglais sur l’intégration continue qui s’est déroulée à Paris ce week-end. Nous étions environ 120 personnes vendredi soir et samedi, avec une bonne représentation de nos voisins européens, peut-être 40% des participants.
Vendredi soir la conférence a commencé par un long tour de salle afin que chacun puisse se présenter. Puis nous avons ensuite préparé le contenu de celle-ci. En effet, le format est de type open-space. Il n’y a pas de contenu préparé à l’avance. Chacun propose un sujet, qui est inscrit sur un post-it et placé sur un tableau blanc. Vous pouvez ensuite voter pour le sujet qui vous intéresse, afin d’en débattre. Avec une organisation vraiment top (merci à Eric Lefevre-Ardant, Jean-Michel Bea et un autre Jean-Michel) c’est vraiment un plaisir que d’être ici.
J’ai retrouvé quelques habitués, mais aussi fait de nouvelles rencontres comme Marc Rambert de Kalistick ou François Goldgewicht d’Aeon Consulting (et auteur de Rss Reader sur iPhone), avec lequel j’ai pas mal discuté. Par contre la majorité de francophone a peut-être un peu exclu nos amis anglophones, comme lors des pauses et du déjeuner. Juste un sentiment.
J’ai assisté à plusieurs sessions. Tout d’abord une séance sur « Done and Testing ». L’objectif est de débattre sur la notion du « Terminé ». Puis ensuite j’ai assisté à une conférence sur la mise en place d’un « pipeline » pour l’intégration continue. Une session qui ne m’a pas tellement plus, lorsque finalement celle-ci s’est orientée vers une présentation de Cruise de ThoughWorks. Comme vous êtes libre d’entrer et de sortir des sessions, j’ai rejoins la session sur les Mocks, animée entre autre par David Gageot de Tech4Quant. Je reviendrai sur ces conférences un peu plus tard.
Pendant l’heure du déjeuner, nous avons parlé Java, iPhone, comment travailler avec un apporteur d’affaire lorsque vous êtes indépendant. Nous avons eu aussi de bonnes discussions sur Java et nos habitudes. Par exemple, pensez-vous que les Interfaces en Java soient une chose à utiliser systématiquement ? Certains répondent oui, car cela permet de tester avec des frameworks. Je fais remarquer qu’il est dommage de construire un logiciel et de n’utiliser des Interfaces qu’en raison des outils de tests, si au final l’application ne s’en sert pas. Nous avons aussi combattu l’effet « si jamais j’en ai besoin au cas où« . Avec cette philosophie, je prendrai des antibiotiques chaque jour « au cas où »… Bref il faut en faire un article, on vous en reparlera sur le Touilleur Express.
Cet après-midi je vais me balader dans des sessions sur les tests d’acceptance, afin de découvrir un peu ce domaine. Et je vous raconterai tout cela un peu plus tard.
Stay tuned
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