La conférence Devoxx France 2014, 3ème édition, s’est déroulée du 16 au 18 avril dernier. Avec 1500 visiteurs, 24 exposants et plus de 170 conférences, c’est à nouveau un très gros succès. Je vous propose un retour plus personnel, en tant qu’organisateur de la conférence. Les coulisses, les chiffres, le gars qui n’était pas content, et tout ce que vous n’avez peut-être pas vu…
Tout d’abord, je commence par la grosse nouvelle annoncée ici en vidéo : Devoxx France 2015 sera organisé au Palais des Congrès, porte Maillot, à Paris, du 8 au 10 avril. Vous verrez que nous avons préparé 2 conférences cette année un peu plus loin…
En coulisse
J’aime bien le moment de la keynote le jeudi matin. L’an dernier, Antonio s’était eclipsé pour revenir en rose. C’était aussi un clin d’oeil pour nous remercier tous les trois, pour avoir porté un peu l’organisation de l’édition 2013, qui restera comme plus difficile que 2014. Nous étions donc content de nous retrouver tous les 4, pour la troisième année consécutive, devant une salle de 1000 personnes.
Notez pour les plus habitués, qu’Antonio était habillé en orange et notez aussi que Zouheir était habillé en noir. A cet instant on ressent de la fatigue, du stress, et surtout beaucoup d’excitation à l’idée d’annoncer que nous changerons d’endroit pour 2015.
Lors de la keynote, pour ceux qui étaient présents, nous avons eu un petit loupé. La fin était prévue « à la Steve Jobs » avec « One More Thing… ». Cependant Antonio avait lancé une autre vidéo avant le début de la keynote pour animer l’écran principal. Nous avions oublié de retirer celle-ci, et sa musique, ce qui a empêché la lecture au moment de la keynote de ce superbe clip terminé à 2h du matin la veille… Bref, nous avons improvisé du beat-box, un grand moment parait-il selon la salle…
Les trucs un peu chaud
Cette année, nous avons effectué la préparation du sac du participant seulement 2 jours avant. Cela fut un peu chaud de déballer, ranger et préparer plus de 1500 sacs. Côté statistiques : 670kg de teeshirt, 220kg de bloc-notes, des stylos, des goodies, un sacré paquet d’objet à déballer et préparer. Merci à Khanh Maudoux et Brice Dutheil qui ont fait l’essentiel avec moi le lundi et le mardi matin.
Deuxième aventure : l’équipe a amené Stephan Janssen (le fondateur de Devoxx) au Palais des Congrès le lundi précédent Devoxx France, afin qu’il visite le lieu. Cela nous a donné les images que vous avez vu sur le clip d’annonce du PDC (Palais des Congrès).
Ajoutez à cela un petit défi que nous nous imposons chaque année : nous imprimons les badges des participants la veille. Une application play2/scala génère rapidement les QRCode et des PDF à partir d’un fichier CSV. Il faut ensuite coller et ranger les badges, plus de 1650 badges en tout. Ce choix d’imprimer les badges nous permet de modifier et d’intégrer les dernières modifications. En général, lors des 2 dernières semaines, José doit gérer un bon nombre de changements, de personnes à remplacer et d’oublis de dernières minutes.
Le programme et les passages par salle, par heure, tout a été fait en 2 jours avec Antonio, début mars. Nous avons ensuite intégré les demandes de changement de quelques speakers, mais le programme était figé le 24 mars, pour que nous puissions ensuite faire fabriquer le guide papier.
Malgré cela, un speaker, un seul speaker, champion du monde, nous a contacté le jeudi précédent la conférence pour se rendre compte que son heure de passage ne convenait pas… Un gars sur les 203 recensés pour les quelques 154 présentations… Il a fallut alors trouver en dernière minute un remplaçant, à même de présenter un sujet… Comme dirait Nabila : « nan mais allo quoi… t’as pas regardé les emails depuis 6 semaines… allo quoi…« .
Dans la série des trucs qui n’ont pas marché : le streaming Twitter du TweetWall. Mon code n’était pas bon, et à chaque rechargement, je créais une nouvelle connexion sur le endpoint Twitter. Cela a eu pour conséquence que j’ai dépassé le quota de connexion Twitter pour mon compte. Dommage… Mais grâce à Mathieu Ancelin (@TrevorReznik) j’ai pu corriger le code, mais pas à temps pour la conférence. Enfin vous n’avez pas vu cela, car j’avais remplacé le bout de code par le widget HTML5 de Twitter. Mieux que rien.
Les trucs qui ont finalement bien marché
Petit stress le mardi soir avec les boîtiers de vote Xebia. Imagine la scène : tu arrives sur la moquette du Marriott. Là, tu te frottes les pieds comme pour les essuyer. Ensuite, tu touches le boitier Xebia… et hop tu fais sauter le boitier. Ennuyant non ? Et bien heureusement que les gars de Xebia assurent. Ils sont restés jusqu’à tard mardi soir pour résoudre le souci. Bravo à Pablo et Aurélien.
Le Crazy-Fly devait filmer aussi l’arrivée de la foule (c’est vous) dans la salle. Le souci c’est que l’appareil risquait d’être victime des perturbations électriques au début. Mais petit miracle, tout a bien marché. C’était les petites images que vous avez vu ici sur YouTube.
Le Labo au niveau -1 et le Hackaton des Bidouilleurs : gros succès. Tout le temps plein, avec des démos, des gars qui hackent des lecteurs de disquette pour jouer de la musique, une harpe laser, des robots, des trucs qui volent, des leap-motions… vraiment sympa. Retrouvez l’ambiance sur cette petite vidéo.
The Artist (ou pas)
Le guide papier a été réalisé en 2 mois environ. Caroline Bernard, Innora, freelance et indépendante, nous a aidé pour la coordination et la fabrication. Elodie de l’agence Comelo.fr a fait toute la maquette. J’ai codé pour ma part en Scala de quoi exporter au format CSV tout le contenu : bio des speakers, agenda, slots, description des sujets, etc. Ceci nous a permis d’utiliser la fonction Fusion d’Adobe InDesign, pour faire nos 64 pages en quelques jours.
Sur la partie marketing, j’aime beaucoup faire la création graphique et l’identité visuelle de Devoxx France. J’ai donc fait les visuels que vous avez vu : le tee-shirt, le petit mug, les posters, les flyers, etc. Cela représente plusieurs heures de travail passionnés avec Illustrator et Photoshop.
J’avais prévu aussi une animation 3D pour l’intro avec Blender. Cependant, la qualité de l’animation n’était pas satisfaisante, nous avons donc laissé tombé. Il y a bien un clip d’une minute sur YouTube, vous verrez quelle était l’idée. Cela représente 1414 images, rendues en 3 heures sur 64 GPU sur Render Street. Le rendu m’a coûté 145 EUR… Pour la musique, je l’ai acheté sur AudioJungle. J’ai repris l’animation 3D, créé en 2 semaines avec Blender, pour en faire la couverture du cahier du conférencier. Le rendu final en 300dpi, CYMK pour l’impression, n’a pris que 15mn avec Cycles sur ma machine de travail.
Organisation de l’édition 2014… et 2015
Côté organisation, c’est d’abord une aventure humaine. Nous avons pris la décision de chercher un nouvel endroit dès juillet 2013. Avec l’aide de Karine Vacca, l’équipe a débuté les visites en juillet 2013, pour préparer 2015. Nous avons monté un dossier et trouvé une première salle au moment de Devoxx Belgique 2013. Le CNIT à la Défense répondait exactement à ce que nous souhaitions faire. Nous avons fait une séance photo, avec distribution de prospectus en janvier dernier, dans l’idée de vous l’annoncer en avril 2014. Nous avions même une petite vidéo avec toute l’équipe, devant les lettres du CNIT… Mais quelques semaines plus tard, nous apprenons que le CNIT fermera en juillet 2015. Nous pouvions rester en avril 2015 au CNIT, mais cela aurait alors demandé de chercher à nouveau une autre salle dès cet été. Heureusement, Viparis, la société propriétaire du CNIT, nous a proposé rapidement un plan B, et quel plan B : le Palais des Congrès, porte Maillot. Wooow ! On passe tout de suite à une capacité de 2000 personnes minimum, avec la possibilité de monter à 4000/5000 personnes comme pour les Microsoft TechDays. Notre ambition n’est pas de grossir x10, mais plutôt de suivre une progression tranquille de 15 à 20%, afin aussi de pouvoir réussir à tenir notre organisation. Un objectif de 1800 personnes pour 2015 sera déjà un sacré challenge.
Organiser 2 conférences en même temps, c’est fun. Chercher des prestataires, des devis, faire passer des standistes, valider les assurances, etc. Un sacré boulot que nous nous sommes bien répartis à 4, avec l’aide de Karine Vacca. Après 3 ans, chacun a trouvé sa place. Cela fonctionne car nous sommes tous les 5 vraiment différents et complémentaires.
Pour les keynotes, Antonio a plus pris en main les choses et a proposé pleins d’idées. Dont l’une, plutôt marrante, pour aller à la rencontre des DSI. Si vous voulez découvrir nos aventures, je vous invite à relire « Le DSI de l’année : rendez-vous en terre inconnue« .
Pour la petite histoire, j’ai reçu un après-midi de mars, un email du Ministère de l’industrie et du numérique. Fleur Pellerin souhaitait venir à Devoxx France pour rencontrer les développeurs. Antonio a ensuite pris contact avec eux, afin d’organiser cela. Tout était prêt… sauf que le remaniement ministériel est passé par là entre temps. Nous avons cependant eu la chance de rencontrer et d’inviter Tariq Krim. Connu pour avoir travaillé et publié une liste des 100 développeurs francophones à connaître, Tariq est venu en parler avec beaucoup de simplicité et de pragmatisme. Je pense qu’il a le mérite de faire quelque chose, qui fait que nous avons beaucoup parlé du Développeur cette année. Il y a ceux qui râlent, peut-être jaloux ou déçu. Et il y a ceux qui font. Je regrette de ne pas avoir eu le temps de plus parler avec lui. Les retours après sa keynote étaient très bons.
Ensuite il y a eu tout un tas d’événements pendant ces trois jours. Devoxx4Kids avec 11 enfants, le robot Nao, une équipe excellente. L’open-data camp est un succès avec plus de 80 personnes, et de beaux projets. Le jeudi, l’Après-midi des Décideurs nous a permis d’accueillir des DSI, comme Romain Niccoli le CTO de Criteo par exemple. A titre personnel, j’ai remplacé l’un des bénévoles et j’ai géré avec plaisir la session de José Paumard sur « 50 choses que l’on peut faire avec Java 8« . Excellent speaker, salle comble, avec l’organisation dans les pattes, je sais pas comment il fait. Sans compter les quelques 10-12 JUGs qu’il a visité depuis plusieurs mois, cette homme est bionique mesdames et messieurs 🙂
Côté forme et nombre de kilomètres, Arnaud Héritier et Guillaume Lours ont partagé les mesures de leur bracelet Fibit. En moyenne, chacun avait fait 11km par jour, pendant les 3 jours de conférence. Sans compter les 2 jours de préparations (lundi/mardi). Globalement, à 20 personnes sur 3 jours, je pense que nous avons fait 660km 🙂 C’est sans doute de là, que viennent les douleurs le vendredi soir 😉
Les exposants nous ont tous aussi dit que le public (c’est vous), vous étiez géniaux. Compuware par exemple, habitué des salons, était vraiment étonné de la qualité de l’organisation, et de la gentillesse des participants. C’est clair que vous êtes aussi sympa, cool, et souriant. Cela permet d’avoir un salon pro, dans une ambiance détendue.
L’an prochain, je crois que j’ajouterai quelques idées proposées par les personnes rencontrées. D’abord l’envie d’avoir des Tools-in-Action aussi le jeudi, pour couper un peu la fin de la journée. Ensuite, une idée sympa pour le CFP : faire voter le public pour une présentation, afin que vous puissiez donc choisir votre sujet. Cela demandera un peu de travail, et aussi l’acceptation de quelques speakers, prêt à jouer le jeu. Mais pourquoi pas…
D’autres souhaitent aussi des formats spéciaux comme « Live-coding uniquement ». C’était exactement ce qu’a proposé et organisé l’équipe de Code-Story cette année. Antonio aussi a suggéré une autre idée : faire des cafés philo. Ce serait des moments de discussion, en petit groupe, sur des thèmes comme par exemple « j’ai passé 35 ans, et je souhaite continuer à coder : comment faire ? ». A voir comment nous pourrions organiser cela. Peut-être sous la forme de BarCamp… A réfléchir.
A titre personnel, je remercie l’équipe des 15 bénévoles, qui nous a vraiment aidé pendant cette semaine. Vous ne les avez pas vu déballer les kilos de teeshirts, plier les cartons et ranger les guides papiers, coller les stickers sur les badges, courir pour fermer les portes d’une salle et se poser à 15h pour déjeuner. Sans eux, il n’y aurait pas de Devoxx France. Merci les filles (Audrey, Claude et Karine) et les gars.
Celui qui n’était pas content
On a eu sinon un retour étonnant d’une personne « pas contente ». Les sandwichs n’étaient pas bons, les speakers se prenaient pour des stars, les toilettes hommes étaient blindées pendant les pauses, pas de wifi pour le participant et j’en passe d’autres remarques du même style. Tout d’abord, en 3 ans, c’est une première. Nous entendons et demandons des retours, tout en espérant aussi que les participants comprennent ce qu’est Devoxx France.
Sur l’affluence, nous avons fait le maximum de ce qu’il était raisonnable de faire. Nous avons arrêté les ventes à 7 semaines de la conférence, car nous étions déjà complets. Nous savions que ce serait la dernière année, avec la promesse d’un endroit plus grand pour 2015. Globalement, les gens qui comprennent et qui préparent leur ‘Devoxxx’ acceptent lorsqu’une salle est complète, d’aller voir un autre talk. Plus de 110 conférences sont enregistrées et seront en ligne d’ici quelques semaines sur www.parleys.com. Certes, ce n’est pas la réponse idéale, mais nous investissons lourdement dans l’enregistrement pour penser aussi à ceux qui ne viennent pas à Devoxx France. Autant de contenu gratuit et mis en ligne pour tout le monde. Gratuit pour le participant et pour n’importe qui !
Sur la qualité de la nourriture, il faut voir les coûts et le budget que cela représente. Passer l’entrée à 600 EUR pour servir des petits fours et des buffets traiteurs : oui on sait faire. Avons-nous envie de le faire ? non. L’enquête de satisfaction montrait en 2012 et 2013 que la grande majorité des personnes est contente de la quantité et de la qualité de la nourriture. Les boissons disponibles gratuitement toute la journée (coca, perrier, jus d’orange et eau) sont aussi très appréciées. Nous avions aussi des menus spéciaux sur demande.
Sur les toilettes hommes, que dire ? Avec à peine 10% de femmes, malheureusement la parité n’est pas respectée. C’est le même problème en Belgique, avec 3500 développeurs, pendant 5 jours. Une fois que tu as compris cela, tu n’attends pas la pause pour passer par la case pipi-room. Peut-être qu’il faut le dire et redire… mais bon.
Les speakers se prennent pour des stars. Celle-ci, elle me fait bien rire. L’écrasante majorité des speakers vient parler pour la première fois. Révélation pour certains… En 2014 le quota de « rock-star/whislisté » par notre équipe est très bas, proche des 10 speakers, sur un total de 180 speakers. Ajoutez aussi les speakers des Quickies et des BOFs, cela représente 207 speakers. J’ai vu des speakers stressés, qui ont surtout énormément travaillé pour passer sur scène. Et oui, on parle bien d’une scène et d’une forme de spectacle. Mais lorsque l’on voit le niveau de préparation des Quickies, moi je trouve qu’ils méritent un minimum de reconnaissance. Il faut aussi un peu redescendre sur terre : tous les speakers vous dirons que les retombées de Devoxx France sont très limitées. Moi le premier, mes clients actuels pour la plupart, ne connaissent pas la conférence. Non, nous ne facturons pas plus que vous. Il y a encore un gouffre entre le petit monde des conférences, et le reste de la communauté des développeurs. Donc je vous rassure : on a pas la grosse tête et personne à ma connaissance ne s’est gravé « Devoxx Rulez » sur le bras en brulant son ordinateur sur scène.
Une autre remarque : « y’a pas de wifi pour les participants ». A cela, dès 2012, nous avions expliqué qu’il n’est pas possible au Marriott, de vous offrir le wifi. Il n’y a « que » 93 bornes wifi sur les 2 niveaux, et pas d’équipements suffisants pour accueillir 1500 geeks avec smartphone + ordinateur portable. Cela ne marcherait pas. Donc plutôt que de tenter l’aventure, de payer 10-12 EUR par personne et par jour, nous avons décidé de ne PAS tenter l’aventure Wifi pour les participants. On verra pour 2015 et le Palais des Congrès. A titre de comparaison, en Belgique, Stephan Janssen a fait installer 2 fibres optiques au Kinetis. Il loue aussi 2 routeurs pour servir 10000 adresses IPs. Le Wifi doit être un investissement qui ne doit pas impacter votre billet d’entrée à Devoxx France.
Voilà pour quelques compléments d’informations. Ce billet s’intitule « mon bilan perso » et n’engage que moi bien sûr.
Nous avons hâte de vous retrouver du 8 au 10 avril 2015, en dehors des périodes scolaires cette fois-ci, au Palais des Congrès à Paris. D’ici là, nous allons continuer à préparer et à avancer sur l’organisation de l’édition 2015.
Sur ce, je vais reprendre une activité de développeur, et laisser un peu Devoxx France de côté.
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Cela fait 2 ans que je viens à Devoxx France dans le cadre de la formation professionnelle. Le travail que vous avez réussi à accomplir – de manière bénévole – est tout juste incroyable. On ne peut que constater que Devoxx France est un énorme succès, et ce n’est pas un grincheux sur 1600 conférenciers qui pourra influer sur ce constat. Et encore, vous trouvez le temps de lui répondre, point par point.
Vous avez déjà certainement reçu beaucoup de remerciements, mais au-delà de la performance organisationnelle, je souhaite tirer mon chapeau à la finalité d’une telle conf, vous réussissez à rassembler des passionnés, à partager et à transmettre cette passion. Ce qui au passage et à ma connaissance n’a pas lieu dans d’autre secteur de métier.
Pour mon cas perso, m’étant éloigné du développement pour assurer des tâches dites de gestion de projet (ça paye mieux), Devoxx Fr 2013 m’avait mis une bonne claque et fait prendre conscience de quelques évidences latentes. D’une part, l’urgence de revaloriser le métier de développeur en France, et d’autre part … « mince, en fait ce qui me plait c’est coder, c’est pas faire des plannings et des budgets ! ».
Du coup, je me suis remis au dev sur mon temps perso (je viens de commencer le coursera scala !) et j’envisage mon avenir pro différemment maintenant.
Alors merci Devoxx.
Merci Nicolas.
Trois DevoxxFr, trois grands moments, merci et bravo. Et mes deux collègues qui venaient pour le première fois ont vraiment apprécié aussi.
J’ai hâte de profiter de l’espace du palais des congrès!
Hello Nicolas,
Troisième Devoxx pour moi aussi et je trouve que c’est toujours aussi bien. A force, j’ai appris à gérer ma fatigue, ce qui fait que la 3° a de loin été meilleure que la deuxième.
Tant pis pour les mauvais coucheurs, coder c’est bien ! 🙂
Oui c’était vraiment bien.
Pour le livret, il était super. Toutefois, as-tu pensé au format A5 à la place du A4 de cette année ? On revient du salon Linux qui en donnait justement un en A5 et ça rendait bien. Et puis c’est surement moins cher 😉
Thierry : moins cher non, car l’impression ne coute que 10% du coût total. La préparation, la mise en page, l’intégration (avec une appli play2) et le montage, c’est 5 semaines de travail 🙂
Le format A5 ne met pas en valeur le contenu et les speakers, nous avons écarté cette maquette pour rester sur le format A4, sur du papier recyclé, en prenant un petit imprimeur.